« On entend beaucoup parler de smart territoires, avec des définitions bien différentes, la nôtre est un territoire où les acteurs publics, privés et les habitants travaillent ensemble, améliorent collectivement la qualité de leur quotidien, créent les conditions de l’innovation, en reliant et en partageant leurs données.
Pour réussir à rendre un territoire « intelligent », connecté il y a quelques fondamentaux comme :
– avoir des réseaux activés, (fibre optique, Wifi, LP-WA, …) et ouverts pour laisser passer tous les fournisseurs de services ;
– ne plus raisonner en « silos » métiers, en mettant en place un contexte favorisant la liaison des données, l’interconnexion d’applications… ;
– garantir un accès et une gestion fine des données, ainsi que leur partage pour favoriser la création de nouveaux services, tout en garantissant la protection des données personnelles.
Avec l’arrivée des réseaux THD, il faut donc pouvoir disposer d’une infrastructure de donnée ouverte et intelligente mais aussi d’un tiers de confiance.
C’est Ozwillo ! Sa déclinaison en marque blanche permet de s’adapter à toutes les situations et à tous les territoires.
Ozwillo est « un socle » permettant de relier les services publics et privés, grâce au partage de leurs données. En effet, Ozwillo facilite la liaison de données produites par les utilisateurs d’applications de diverses natures : transport, tourisme, réservations en ligne, inscription scolaire, déclarations à la mairie, consommations énergétiques…
Ozwillo est le premier tiers-de-confiance reposant sur une communauté d’acteurs publics et privés, et offrant un réel potentiel d’innovation, sans jamais monétiser les données.
En effet, Ozwillo favorise la réutilisation de ces données au sein d’un même territoire, d’un groupe d’utilisateurs, afin d’optimiser l’organisation du quotidien ou la gestion d’un territoire. Ces données peuvent être partagée, liées, analysées, ou encore publiées en open-data (c’est-à-dire accessibles à tous), conformément à la Loi pour une République Numérique promulguée à la fin de 2016 pour
favoriser l’ouverture des données publiques.
Ozwillo est une plateforme nationale qui peut avantageusement être déclinée en portail territoriaux personnalisés et s’inscrire dans une démarche politique d’écosystème numérique innovant (que cette politique soit portée par une structure de mutualisation de type syndicat, une agglomération, une région, …). Des syndicats, associations, agence de développement, membres de la FNCCR en ont déjà fait leur outil de management et d’ouverture de leurs données. C’est le cas du SICTIAM et de l’ADICO, par exemple.
L’écosystème d’Ozwillo s’étend progressivement, car de plus en plus d’éditeurs s’adaptent à la plateforme pour permettre l’ouverture des données produites chaque jour dans les logiciels métiers des collectivités, de manière automatisée (gestion des services techniques, SIG, gestion du courrier, gestion de la relation avec les citoyen, gestion de hotspots,…). De son côté l’usager peut s’y connecter
avec son compte France Connect et ses données personnelles seront protégées.
Plus de 100 organisations sont déjà utilisatrices d’Ozwillo, pour l’ouverture de leurs données ou l’interopérabilité de leurs métiers.
A l’heure où les annonces gouvernementales se succèdent pour dématérialiser l’ensemble des services publics et moderniser les processus, nous apportons une réponse « à la carte » pour accompagner tous les territoires selon leurs spécificités, avec l’objectif de replacer au coeur des territoires l’usager-acteur
de son quotidien, qui maîtrise ses données.
Principaux jalons :
• 2011 – 2015 : Projet européen OASIS, « vers un cloud de services publics » (e-administration)
• 2014 – 2017 : Projet OCCIWARE, Programme Investissement d’Avenir « Cloud & Big Data »
(gestion données d’énergie)
• 2015 : Accord de transfert de la propriété intellectuelle
• 2016 : Création de l’association Ozwillo
• 2016 : Adhésion du SICTIAM et de la FNCCR
• 2017 : Adhésion de l’ADICO
• 2017 – 2020 : Projet européen SoCaTel « co-création de services publics » (santé, bien vieillir)
• 2018 : Transformation de l’association en SCIC »
Contact presse :
Sophie HOUZET (06 84 88 13 33)